Conférence dématérialisation et RGPD
la société Actis a organisé le 8 novembre 2017, à Monaco, une matinée de conférences dédiée dédiées à la loi sur l’économie numérique du 2 août 2011 et aux ordonnances souveraines publiées en août dernier ainsi qu’à l’application du RGPD dans le cadre de l’économie numérique.
Un point sur les avancées de la dématerialisation à Monaco
Une soixantaine de convives -issus du Gouvernement, du monde de la banque et du chiffre en général, des hospitaliers ou encore des consultants- ont répondu à l’appel d’Actis, ce mercredi matin, pour une session d’interventions d’experts.
Introduction par Thierry Leray, président et administrateur délégué d’Actis et Jean-Pierre Ballet, administrateur, puis Eric A. Caprioli, avocat à la Cour de Paris et
vice-président de la FNTC (entre autres), a dressé l’état des lieux de la dématérialisation à Monaco et s’est penché sur l’apport de ces ordonnances souveraines.
Double séance coffre-fort électronique ensuite, avec Alain Borghesi (Cecurity.com) et Jean-Pierre Ballet, qui s’est intéressé à la dématérialisation des factures et des
documents RH.
Roger-Yves Pelletret, président d’Atline Services, a quant à lui présenté sa plateforme nationale de dématérialisation des procédures de consultations des entreprises, marches-securises.fr, déclinée dans les Alpes-Maritimes sous le nom de e-marches06.
Et dans ce contexte réglementaire monégasque renforcé par des ordonnances souveraines tournées vers la dématérialisation, Atline Services s’est associée à Actis pour développer e-marchés Monaco, une plateforme de dématérialisation des appels d’offres en Principauté, pour l’heure à l’état de projet.
Le RGPD et la sécurité des données personelles au centre des attentions
Une matinée dédiée à la dématérialisation ne serait pas complète sans un focus sur le RGPD (Règlement général sur la protection des données), applicable dès le 25 mai
2018 dans l’ensemble des pays de l’Union européenne… Parmi les principes du règlement figure l’obligation d’accountability, qui consiste à se ménager la preuve, en cas de contrôle, que les mesures ont été prises pour garantir la protection des données.
